Tu refermes ta robe soigneusement en laissant les 2 pans bien écartés et qui se touchent uniquement au niveau du noeud de la robe. Tu te refais une beauté rapidement puis rejoins notre table.
Une fois assise, je rapproche ma chaise de la tienne et te demande de me décrire toute la scène et ce que tu as ressenti, tout en faisant cela, je prends ta main et la déposes sur mon sexe, le contact de ma chair te surprend, j'avais en effet, déjà sorti ma verge de mon caleçon...
Tu commences à me branler langoureusement, je bande très dur et je te susurre à l'oreille que c'est l'effet que tu me fais, que j'aime quand tu fais ta salope, que tu n'as peur de rien et que tu acceptes mes défis, je te fais savoir aussi la chance que j'ai d'avoir su découvrir ce potentiel en toi et qu'ensemble on va l'exploiter au maximum !
Pendant que tu me caresses je pose aussi ma main sur ta cuisse puis vient rapidement à la rencontre de ton clitoris sur lequel j'appuie fortement, puis le pince entre mes doigts, pour le caresser ensuite, tu es toute trempée, je rentre un doigt, puis un deuxième, cela a pour effet de te faire gémir doucement tu apprécies la lenteur de la pénétration, et je ressors encore plus lentement, tu es trop excitée et tu as encore envie de jouir, tu serres très fort ma queue dans ta main, j'enlève les doigts pour les porter à ma bouche et les lécher, j'aime le goût de ta cyprine, plutôt mielleux. Je te fais ensuite part de mon envie de sentir tes lèvres sur ma queue... et te laisse libre choix de la façon dont tu vas y arriver... tu jettes un regard à droite et à gauche, personne ne regarde dans notre direction, tu glisses de ta chaise pour passer rapidement sous la table en silence, puis je sens tes lèvres embrasser mon gland, quelle sensation de sentir la chaleur de ta bouche, tu entreprends des mouvements avec ta langue, tu commences par lécher le gland, puis tu descends avec ta langue tout au long de ma verge, pour revenir l'engloutir ensuite, tu absorbes littéralement ma queue, jusqu'au fond de ta gorge et reste ainsi plusieurs secondes, quel effet ! Je ne te connaissais pas aussi experte en la matière ! puis tu entreprends des va et viens en enfonçant ta bouche jusqu'à coller ton nez contre mon bas-ventre, cela a pour effet de laisser sortir beaucoup de salive, et tu continues ainsi plusieurs va et vient. Je sens le plaisir monter mais je ne veux pas jouir maintenant, je mets ma main sur ma queue pour t'empecher de continuer et te fais signe de remonter... surprise tu me précises que tu étais prête à avaler ma semence si c'est ce qui m'inquiétait, je te fais savoir que la soirée ne fait que commencer et je veux faire durer le plaisir...
20h30, je paye l'addition, il est temps de partir... Nous nous levons, et tu fais encore le même effet à l'assistance même si je t'ai demandé cette fois de bien refermer ta robe, retour à la normale nous allons nous balader dans la rue donc autant éviter le délit d'atteinte à la pudeur tout de suite...
Nous marchons depuis cinq bonnes minutes, avec ma main baladeuse sur tes cuisses et tes fesses, je passe d'une fesse à l'autre tout en m'attardant sur la raie parfois, ta robe est courte donc je n'ai aucune difficulté à en profiter ! Il n'y a pas grand monde, ce qui est un avantage. Tout à coup je vois la porte d'un vieil immeuble qui n'est pas fermée, je te guide à l'intérieur puis referme la porte derrière moi, il y a comme un préau qui donne sur une cour. Nous sommes à l'abri, personne ne peut nous voir sauf si quelqu'un rentre dans l'immeuble ou descend les grands escaliers qui donnent sur le préau... je me mets dos au mur et appuie sur tes épaules pour te faire comprendre de finir ce que tu as commencé au restaurant... sans hésiter tu descends, en prenant soin de garder les genoux bien ouverts que je puisse voir ton intimité bien ouverte, je prends soin d'écarter ton décolleté pour découvrir tes seins que je te demande de caresser tout en me suçant. Etant donné les compétences en la matière dont tu as fait preuve au restaurant, je te laisse engloutir ma queue sur toute sa longueur, puis avec ma main sur la nuque entreprend de diriger les événements. Après quelques va et vient, j'appuie sur ta nuque pour que tu la gardes en entier plusieurs secondes, quand je relâche tu lâches un râle de plaisir et moi avec, et on fait cela à plusieurs reprises, je sens le plaisir monter. Il ne m'en faut pas beaucoup car j'ai retenu ma jouissance toute la soirée, tu sens que je vais jouir donc tu gardes bien ma queue en bouche, et tu recois plusieurs jets puissants, à tel point que cela dégouline de ta bouche car tu n'as pas le temps de tout avaler, je sors mon smartphone et prends une photo de toi ainsi avec du sperme qui coule le long de ta bouche, les seins en l'air, les cuisses ouvertes, quelle salope !
Nous nous réajustons puis ressortons de l'immeuble, il y a un cinéma sur la grande place, c'est là bas que je souhaite continuer nos ébats. Nous prenons un film d'auteur pour s'assurer que la salle soit presque vide, nous prenons des places discrètes au fond d'une rangée à l'arrière de la salle.
Il y a un couple à l'avant, un homme seul derrière nous sur la dernière rangée, la lumière s'éteint le film commence. J'ai déjà ma main posée sur ta cuisse, je défais le noeud de ta robe et en écarte les pans. Quelle vue ! voir ainsi ton corps offert, ta superbe poitrine généreuse, ces seins parfaits, ces tétons érigés à la lueur de l'écran, je prends encore discrètement une photo. Je te fais signe de te caresser les seins pendant que je m'occupe de ton clitoris... la tête en arrière, la bouche ouverte, le plaisir monte rapidement... je reprends ce que je t'ai fait subir au restaurant, je rentre très lentement mon index, puis mon majeur et les ressort encore plus lentement, je réitère à plusieurs reprises puis me retire... avant de reprendre la porte de la salle s'ouvre un homme seul rentre et s'assoit dans notre rangée, non sans nous faire un sourire narquois, il ne laisse qu'une seule place entre toi et lui, quant à moi je suis de l'autre côté. Je reprends là où je m'étais arrêté et continue de te caresser, notre voisin me regarde et attend mon acquiescement pour se mettre à l'aise et se rapprocher au siège libre à côté de toi. Tu me regardes, et je te fais un signe du genre je n'y suis pour rien en levant mes deux mains, puiis te chuchotes à l'oreille que je le comprends, car comment résister à ton charme ?